À propos

– Qualité de ce qui vient au bon moment.

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Un jour, je me suis retrouvée sur une table d’accouchement. J’avais 25 ans. Le périnée découpé, sans prévenir, sans raison. Mon bébé ausculté, sans prévenir, sans raison. Elle hurlait et moi je réalisais ! C’est ça un accouchement ? C’est ainsi qu’une femme est accompagnée pour devenir mère ? C’est comme ça qu’on accueille un bébé sur la Terre ? Et le père, n’en parlons même pas ! Ben merde, me suis trompée de planète !!! Et j’ai voulu devenir sage-femme. Dans ces conditions, il fallait bien faire quelque chose.

Chemins Eclore

A 27 ans, me revoilà sur une table d’accouchement. Que venait-il de se passer ? Mon corps et moi avions orchestré une valse hormonale incroyable qui avait permis à ma seconde fille d’arrivée sur Terre avec grâce et accueillie par sa mère, son père, tout à côté. Les acteurs autour, dans le respect, choisis minutieusement ! Alors en fait : le corps des femmes est fait pour mettre au monde un bébé et en plus de ça, cela peut être une de nos plus belles (et intenses) expériences de vie de femme !? Fallait que je répande la nouvelle ! A 33ans, me voilà diplômée sage-femme, sur une autre table d’accouchement, en Californie, à mettre notre fils au monde, par césarienne, cette-fois ci.

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Là-bas, je découvre l’accouchement à domicile, me reconnecte aux racines ancestrales de notre art de sage-femme autonome et savoure les enseignements de Nancy, cette sage-femme américaine qui me prendra sous son aile durant 2 ans. A 36 ans, nouvelle table d’accouchement, retour en Belgique, décidément, la délicatesse et le renforcement des compétences de la femme restent encore des vertus à cultiver autour de l’enfantement, et me voilà mère pour la quatrième fois. Je lance alors une activité d’accouchement à domicile. D’abord en binôme avec Maïté Mandy avec qui j’ouvre une maison de naissance à Bruxelles en 2020. Puis, en 2022, je déménage à Braine L’Alleud et en ouvre une autre chez moi.

Mon rêve

Offrir un lieu où les bébés peuvent naître et atterrir en douceur pendant que je dorlote leur parent, que je prépare une soupe avec les légumes du jardin et que la vie se vit au rythme doux des petits oiseaux qui chantent.
Aujourd’hui, mai 2023, 42 ans, un mari chéri, quatre enfants, un chien et un chat, bientôt.

J'accompagne

Les couples en quête de conscience et d’amour autour de l’arrivée sur Terre de leur bébé. Je leur propose un suivi global de grossesse, d’accouchement et de postnatal à l’écoute de ce qu’ils sont en train de vivre. Devenir parent transforme, chamboule, questionne, émerveille, ouvre… J’aimerais pouvoir être cette marraine la bonne fée qui d’un coup de baquette magique rassure, soutien la transformation, apporte la sécurité médicale et affective de juste ce qu’il faut et protège ces rencontres intimes et profondes de soi et de l’autre.

Les sage-femmes en quête de bienveillance dans le déploiement de leurs compétences et couleurs propres du métier. Je propose un compagnonnage d’immersion dans les suivis que je réalise. Devenir sage-femme autonome est exigeant, pas toujours évident mais tellement plaisant. Je voudrais transmettre les clefs d’une confiance intérieure (soi), d’un ancrage dans le métier (compétences et frontières du métier) et d’une posture auprès des couples et des bébés (l’autre, celui que j’accompagne).

Je propose

Des instants Eclore, des journées ou demi-journées pour venir faire une expérience d’ouverture. J’y utilise l’outil des Constellations familiales que je combine à d’autres outils d’accompagnement thérapeutique et de développement personnel (écriture, sophrologie, méditation guidée, EFT, focusing, The work, CNV). Je m’adresse à tout un chacun qui a le souhait de faire un travail sur lui. Tout, absolument tout peut être constellé. 

Stephanie Wampach
Au départ, j’ai un diplôme d’ingénieur de gestion, spécialisée dans les pays en développement. J’ai travaillé 1 an dans une entreprise Espagnole Zabala et mon job consistait à traduire les projets d’innovation proposés par nos clients en opportunités de financement pour la commission Européenne.
Ensuite, j’ai été engagée dans une ONG Echos Communication qui avait pour but de sensibiliser à la manière dont nous communiquions l’autre. Si l’autre n’est communiqué qu’en terme de manques, faiblesses et failles, il ne peut imaginer un développement sur base de ses richesses et ressources. J’aime à croire que j’y ai reçu toutes les fondations de mon métier de sage-femme. J’y suis restée 4 ans.
Puis, avant de retourner sur les bancs de l’école de sage-femme, je suis d’abord allée faire une année scolaire de l’autre côté du banc en étant prof et maître de stage à l’école de commerce qui m’avait formée dans le département « Economie des pays en développement ».
Le point commun de ces expériences professionnelles : j’accompagnais des gens à mettre au monde leur projet… ça y était déjà !